Il y a ce que l’on accepte de laisser partir, et ce que l’on retient.
Ce qui reste en Soi, entre deux omoplates. Un nœud dans un mollet droit. Une boule dans la gorge. Nourrit par nos craintes, nos doutes et nos frustrations.
La peau tatouée témoigne de la force quasi sauvage de celle qui possède son corps. Il est objet d’art, il reflète différentes cultures, il est carte du Monde. De ce qui a été vu et de ce qu’il reste à voir.
Mais l’on voit mieux quand on n’a plus de larmes dans le cœur.
A mon amie de longue date, avec qui nous avons trouvé une nouvelle voie de communication, sans les mots. Je t’aime fort.
Oh punaise, une petite larme a roulé. Ca fait tellement écho, le sac à dos…
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